Les biocarburants de seconde génération sont les plus avantageux pour une bonne raison : la biomasse utilisée pour la production de ce biocarburants ne sert pas à l’alimentation. Effectivement, les biocarburants de première génération sont actuellement d’après l’ONU un facteur de sous-alimentation des pays pauvres.
Rapport sur le droit à l’alimentation de Jean Ziegler, résolution 6-2-2007 [1] :
Avec les filières de seconde génération, on peut fabriquer de l’éthanol cellulosique et du carburant diesel de synthèse (BtL). Ici, on utiliserait de la paille de céréales, des déchets forestiers,... Par conséquent, le schéma générique du procédé comprend les principales opérations unitaires suivantes : le prétraitement de la matière première, l’hydrolyse, la fermentation éthanolique et la séparation de l’éthanol du moût de fermentation.
Voici un schéma de ce procédé :
Cette filière est celle à prioriser étant donné les problèmes de faim dans le monde qu’il y a. Le brésil a déjà commencé à exploiter cette filière avec la canne à sucre [2].